Ce youtuber révèle les terribles effets de 24h de jeux d’horreur en VR
YouTube : Dara TahDara Tah est un youtuber Irlandais spécialisé dans les défis “24 heures”. Son plus récent marathon était de rester pendant 24 heures dans des jeux d’horreur en réalité virtuelle et les effets ont duré bien plus longtemps que ce qu’il avait imaginé.
Dara a produit de nombreuses vidéos autour du thème “24 heures dans” sur sa chaîne YouTube en pleine croissance. On y retrouve ainsi certains défis comme rester dans des toilettes publiques pendant 24 heures ou dormir seul dans le cottage le plus hanté d’Irlande.
Histoire de passer au niveau supérieur, le jeune homme s’est embarqué dans une aventure encore plus traumatisante, rester pendant 24 heures d’affilée dans des jeux d’horreur en réalité virtuelle.
Il a donc recruté pour l’occasion sa petite amie pour l’aider à se filmer et lui apporter de la nourriture afin de ne pas avoir à s’arrêter pendant ce marathon.
Avant de même commencer, sa plus grande inquiétude était la nausée inhérente à la VR, Dara avouant qu’il n’avait en fait jamais essayé cette technologie auparavant. Très clairement, ses amis n’étaient pas très optimistes quant à ses chances de tenir 24 heures.
Loin de se décourager, Dara est donc parti dans des jeux comme A chair in a Room, Dreadhalls et a eu droit à une petite séance de Google Earth afin sortir un peu de l’horreur de cette expérience pour avoir réussi à terminer l’un des jeux.
“Vivre littéralement dans un jeu d’horreur” est porté ici à son paroxysme notamment lorsque Dara tente de dormir avec son casque dans le jeu The Forest où le but est de se construire un abris avant que des cannibales ne viennent vous dévorer. Le jeune homme trouve difficilement le sommeil tandis que des cannibales à moitié humain grattent à sa porte pendant toute la nuit. L’horreur à l’état pur.
Les effets secondaires et persistants
Peu après ce marathon de 24 heures, Dara explique que même quelques jours après cette expérience, il continue d’en ressentir certains effets. Il évoque notamment la façon qu’il a parfois de vérifier si ses mains sont bien les siennes et attachées à ses bras. “La sensation d’être toujours dans le casque s’est en quelque sorte répercutée dans la vraie vie”.
Pire encore, il explique avoir désormais une certaine angoisse voire un léger moment d’hésitation au moment de tourner au coin d’une rue ou à l’angle d’un couloir.