Une créatrice d’OnlyFans renvoyée car ses vidéos “distrayaient” ses collègues
Instagram/thesparkyclarkyUne créatrice de contenu OnlyFans a été licenciée d’un concessionnaire automobile. Ses vidéos trop “distrayantes” pour le personnel.
La créatrice de contenu OnlyFans américaine Sparky Clarky, particulièrement populaire sur la plateforme, a subi un contrecoup de sa notoriété pour le moins surprenant.
Employée en tant que commerciale dans un concessionnaire automobile en Floride, Sparky Clarky s’est rendue compte que ses photos sexy commençaient à être partagées sur son lieu de travail.
D’après la créatrice, son patron l’a rapidement mise à l’écart dès qu’il a eu vent de son activité sur OnlyFans.
“Ma propre entreprise s’est abonnée à mon OnlyFans”
Dans une interview accordée au média The Star, Sparky Clarky détaille les discussions qu’elle a eu avec son employeur après que ce dernier ait découvert son activité sur OnlyFans :
“Mon patron a parlé avec son employé du concessionnaire qui avait visiblement un problème avec moi, et il m’a dit que j’étais une distraction et que ses employés ne travaillaient plus quand j’étais dans les parages. On m’a interdit de revenir en m’expliquant que cette situation n’était plus possible. Ça ressemblait à de la discrimination sexuelle des plus classique, à la limite du harcèlement.”
La commerciale et créatrice de contenu explique avoir discuté avec le département Ressources Humaines de son concessionnaires, débouchant sur une conversation qui l’a mise très mal à l’aise :
“Au bout d’un moment, ils m’ont interpellé alors que je m’apprêtais à rencontrer un client le jour de mon anniversaire. ils m’ont montré une photo de moi topless avec un polo bleu. Ils m’ont demandé si c’était mon habit de travail et si je menais mon business parallèle pendant mes horaires de travail.
Pourtant, aucun logo n’étais visible sur le polo. En fait, il semblerait que ma propre entreprise ce soit abonnée à mon compte OnlyFans pour enquêter en profondeur sur mon contenu.”
L’entreprise aurait rapidement décidé de se séparer de la commerciale, une décision que Sparky Clarky explique avoir vécu comme de la pure discrimination.