Les devs expliquent pourquoi il n’y aura pas de véhicules terrestres dans Gray Zone Warfare
MADFINGER GAMESGray Zone Warfare propose un immense monde ouvert à explorer et bien que vous puissiez utiliser les hélicoptères pour vous déplacer, vous passerez la plupart de votre temps à pied. Cependant, l’introduction de véhicules terrestres dans le jeu ne semble pas d’actualité.
Bien que les joueurs puissent éviter de marcher en permanence en prenant l’hélicoptère Little Bird vers différentes zones de débarquement (LZ) autour de la carte, beaucoup dans la communauté veulent désespérément l’ajout de véhicules terrestres pour se déplacer plus rapidement d’une zone à l’autre. Cela serait particulièrement utile lorsque vous attendez qu’un Little Bird soit disponible.
Mais ne vous attendez pas à prendre une voiture ou un quad pour retourner à la base de votre faction de sitôt, car Rick Lagnese, directeur des relations publiques et de la communication pour Gray Zone Warfare, a expliqué dans une interview avec nos collègues de CharlieIntel que les véhicules terrestres ne sont pas au programme.
« Pour l’instant, nous ne comptons pas ajouter d’autres véhicules », a déclaré Lagnese. « Il y a des choses sur lesquelles nous travaillons mais je ne pense pas que nous allons ajouter plus de véhicules. Nous voulons vraiment nous concentrer sur l’ajout de plus de récompenses pour l’exploration, plus de butin, et des éléments qui incitent les gens à prendre leur temps pour parcourir cette carte ».
« Vous savez, ce n’est pas comme s’ils passaient d’une carte à une autre », a-t-il expliqué. « Et oui, c’est un grand monde, mais nous aimons cette approche lente et méthodique ».
Au lieu d’ajouter de nouveaux véhicules, les développeurs donnent la priorité à l’amélioration du système de transport par hélicoptère. Par exemple, ils ont discuté de la possibilité de se faire déposer à un certain point en route vers une LZ.
Ils veulent que Gray Zone Warfare reste une simulation militaire hardcore où vous êtes encouragés à explorer la carte à pied, mais « cela ne veut pas dire que nous ne travaillons pas sur la situation des LZ… C’est devenu un mème, et à juste titre ».